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Rick envisage de commencer à négocier le pistolet D. Moore de l'époque de la guerre civile, appartenant à un officier noir de Louisiane.

Rick Harrison est intrigué par une lame qui a, d'après les dires du vendeur, appartenu à un célèbre amiral japonais de la Seconde Guerre mondiale.

Forger une lame à partir d'une météorite, puis réaliser un sabre digne d'Attila : voici les deux défis à relever pour qui veut décrocher le titre de meilleur forgeron.

Au deuxième tour du tournoi des armées, quatre aviateurs de l'US Air Force doivent forger un couteau Bolo en utilisant la technique de San Mai.

Carole et Anthony aiment la démesure. Ils partent avec leur motor-home de douze mètres de long pour un périple de près d'un an à travers l'Europe.

Sur les routes, on peut croiser des camping-cars classiques et d'autres construits sur mesure, tel ce camion de pompier transformé en maisons sur roues.

Rick Harrison est un businessman féroce. Il travaille avec son fils Corey, son père Richard et Chumlee. À chaque épisode, de nouveaux clients viennent présenter des objets étonnants dont ils espèrent tirer un bon prix. Mais les Harrison sont durs en affaires et savent très bien négocier.

Corey et Rick examinent un manteau ayant appartenu à Lee Harvey Oswald, puis une guitare Gibson de 30 ans et un jeu Nintendo rare de Mike Tyson.

Au troisième tour du Tournoi des armées, quatre forgerons sont chargés de créer le Ka-Bar, l'un des couteaux les plus polyvalents, puis l'épée d'officier du corps des Marines.

Quatre forgerons doivent forger un kukri avec de l'acier provenant d'une motoneige. Les deux candidats restants doivent réaliser une épée sacrificielle : le Ram Dao.

Dans le département de l'Isère, certaines unités de la compagnie de gendarmerie de Vienne ont été suivies dans leur quotidien pendant plusieurs mois. Parmi elles, le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie, la brigade territoriale de Roussillon et le peloton motorisé.

Tous les ministres de l'Intérieur sont passés à Méru en leur temps pour vanter leur politique sécuritaire. La situation est loin d'être apaisée dans cette cité dortoir.

L'est de Paris est gangréné par un phénomène inquiétant : le trafic de drogues dures, comme l'héroïne ou le crack. Depuis plusieurs années, la plaque tournante de ce trafic se trouve dans le XVIIIe arrondissement, dans un terrain vague situé juste en-dessous du périphérique. Par manque de moyens ou de volonté des pouvoirs publics, le business du crack se développe un peu plus chaque jour.